Attention on bifurque !

bouche bée change de crèmerie pour un environnement plus à son aise...

Rendez-vous désormais ici pour suivre mes pérégrinations hebdomadaires.

Vous aurez toujours accès aux articles publiés jusqu'alors en ce lieu en cliquant sur l'onglet "bouche bée V.1" du nouvel espace.

On se retrouve là-bas, ok ?

A tout de suite alors...


xxx



Delphine

b.b.'s melting pot #6

une semaine plutôt chargée et pas trop le temps de me la couler douce sur le web à baver devant l'inabordable, alors les amis, ce sera un mini b.b.'s melting pot aujourd'hui...




et une fois n'est pas coutume, faveur aux hommes pour commencer !

pulpeuses, belles et so sexyyyyy... des rondeurs à tomber que je n'aurai jamais !
oui je sais les garçons, vous mourrez d'envie de savoir où vous rincer l'oeil...
Allez suis sympa, je vous le dis... c'est sur Vogue Italie

***

bon comme y faut pas déconner non plus, sorry mais on repasse aux trucs girly (de toute façon les garçons, vous êtes tous occupés ailleurs à cette heure-ci ;-)

Tu m'donnes le mal

Il y a peu, j'ai été témoin de deux scènes de vie.
Dans chacune d'elle, un homme était là, un homme qui semblait ne pas être à sa place, comme un acteur imposteur, comme s'il voulait être ailleurs.
Je me suis alors interrogée sur les "comment" et les "pourquoi" qui les ont mené là. A quel moment de leur vie tout a basculé et quelles sont les causes de leur apparente résignation.
Je n'ai pas les réponses, seules les questions demeurent mais tout ce que je sais, c'est que cela m'a renvoyé de manière évidente à ma propre vision de vie. Serais-je un jour confrontée à un tel constat, vais-je me sentir "à côté" du chemin en tentant désespérément de me souvenir du moment où je me suis égarée, du carrefour qui malgré moi m'a trompé ?

7 chansons pour l'histoire

Aujourd'hui je fais ma paresseuse... mais attention, pas n'importe quelle paresseuse !

En fait, je vais parler d'un sujet mais avec l'analyse et les mots d'un autre.
Je vais simplement déposer ici quelques extraits piqués dans un article du "Télé Ciné Obs" (hebdo gratuit accompagnant le Nouvel Obs) qui raconte l'histoire de quelques chansons qui ont tatoué à jamais le paysage musical francophone, mais aussi anglophone pour l'une d'entre elles présentées ci dessous.

Cet extrait est issu du livre de Bertrand Dicale "Chansons qui ont tout changé" paru l'an dernier.

Et si, comme moi, ces petites histoires vous passionnent ou aiguisent simplement votre curiosité, vous aurez tout le loisir d'en découvrir beaucoup d'autres, racontées par l'auteur lui-même, tous les dimanches d'été sur France Info (horaires de diffusion : 11h19 - 13h49 - 16h19 - 19h47 et 23h47).



Il était une fois...

b.b.'s melting pot #5

Cette semaine j'ai aimé...





me dire, en revoyant cette photo de Jane March dans "L'Amant", qu'après avoir reporté cet achat moultes fois, cette année c'est décidé l'été sera sous un Panama ou ne sera pas !

 

tomber littéralement amoureuse de ce look dans son intégralité ♥ ♥ ♥ ♥ ♥
c'est pas compliqué je veux TOUT exactement comme Hanneli !

Un air de famille

Chez ma petite soeur, j'ai toujours admiré son sens de l'esthétique, sa manière intuitive de choisir un objet, de trouver exactement sa place, comme s'il avait toujours été là. De son doigté délicat naît toute une poésie douce et apaisante émanant naturellement de son appartement. Je me suis délectée des photos de son intérieur, un cocon si réussi que le site pointu Design Sponge a même choisi de le présenter.

Padam

Dans un bar
bondé
humide et chaud
dans un bar
bulles à la main
collée
contre
des chairs
inconnues
imposées
j'oublie
dans un rire
que personne
à mon corps
effronté
n'a osé se frotter

b.b.'s melting pot #4

Un cheaping b.b.'s melting pot en cette semaine de soldes, ben oui, faut bien se mettre dans l'ambiance...
Ce sera donc une sélection des sites qui, selon ma pomme, valent le coup d'oeil pour vous rendre trop fières d'avoir fait de belles affaires !

Dieu & you

Un jour, j'ai eu une conversation très intéressante à propos d'une question que je me suis souvent posée : pourquoi les personnes les plus cartésiennes du monde croient-elles majoritairement en Dieu ?

Un rendez-vous de juin

J'arrive, pose le pied, le premier pied à quai.

Cigarette, le pas assuré je marche vite, je vais tout droit et accélère encore le pas. J'hume l'air citadin et goûte à pleins poumons la sensation précieuse de ce qui, je le sais, va m'emplir de tout, va faire bouillir mon poul. Quelques heures volées, le temps de perdre pieds, là où tout est possible, sans limites, sans pudeur, dans le chaud, la sueur.

b.b.'s melting pot #3

Une semaine dominée par le "dress code", je vous aurais prévenu !

   

    

    

S'il en est une qui maîtrise parfaitement le port du "court sur talons hauts" c'est bien Alexa Chung, ex top anglaise et présentatrice d'une émission fashion américaine (bon avec des gambettes pareilles, elle aurait tort de se priver la jolie). Ce que j'aime chez elle c'est son coté sexy cool et chacune de ses apparitions m'inspirent de nouvelles envies pour de futures tenues. 

Sans oublier le sac Mulberry qui porte son prénom, belle bouché bée d'il y a quelques mois déjà et qui me plaît encore d'avantage aujourd'hui.

Alexa tu m'inspires !

Poupées russes

Installée confortablement sur la banquette arrière d'un taxi parisien, je feuillette un magazine.
Je ne lis pas, je regarde juste les images, en tournant machinalement le papier glacé qui colle à mon index humide.
Et puis la page 102, mes doigts saisissent le coin droit du feuillet mais ne le pince pas, ne tournent pas la page.

L'escalier

Fébrile
mon coeur
galope
mon sang bout
j'hésite
respire
puis me grise
et j'attaque
de face
la première marche

b.b's melting pot #2

Serait-ce juste les images, le sourire d'une fillette ou la vénération poétique de l'oiseau qui m'a fait voyager ?

La Chine ne m'attire pas et pourtant là, j'ai eu envie d'y aller...

 Libération - Next n°36

Ma muse

Dans la famille, la photographe ce n'est pas moi ; l'artiste, l'oeil précieux et averti c'est celui de ma petite soeur. Pour être tout à fait franche je n'ai jamais su maîtriser un appareil photo, je suis trop dans le vif de l'instant pour dominer le calme et la minutie propices aux réglages parfaits qui subliment un sujet.

Mais il y a quelqu'un qui, comme par magie, m'offre parfois l'exact rendu qui trotte dans ma tête au moment ou j'appuie sur le déclencheur.

Juste avant

Le temps s'étire
infiniment
il s'étend
se repose
et squatte
le présent

Le bouscoler
est vain
le chasser
impossible
l'apprivoiser
peut-être
se soumettre
à sa guise

b.b's melting pot #1



L'idée ? Vous raconter chaque week-end quelques-unes de mes petites bouches bées de la semaine.

Lire les premières impressions du retour au pays de ma petite soeur
sur son très joli blog petits papiers



Cette sublime photo de Monica Vitti sur pozzanghere



Comment on dit déjà ? Ah oui "avoir du chien" sur pozzanghere

L'image et le son

Il y a des artistes que l'on écoute juste pour leur musique, leur voix, leur son et c'est amplement suffisant puisque, dans l'absolu, c'est ce que l'on attend d'eux.

Et puis il y en a d'autres qui nous offrent la fantaisie visuelle en plus, un peu comme un cadeaux bonus, un truc juste pour faire plaisir.
Certains prennent tant de soin, de minutie et de régal à le faire que l'on se surprend à attendre autant leurs nouvelles images que leurs nouveaux albums.

À mes pieds

Dans un intérieur, un cocon, dans un nid, il y a certains détails qui font toute la différence et témoignent un peu de ce que nous sommes.

L'une de ces valeurs ajoutées très personnelles repose à nos pieds : le tapis.

Le manque

Le manque
comme un creux
vide
improbable
comme
un néant
pesant
imposant
indomptable

Kate Moss

Rassurez-vous, je ne vais pas écrire des lignes et des lignes sur elle, d'autres l'on fait, le font et le feront encore et comme tout a été à peu près dit sur LA femme-icône de notre -jeune- génération, loin de moi l'idée d'en rajouter inutilement. Mais...

La Ligne

A l'heure où j'écris ces lignes, ma petite soeur s'est envolée pour rejoindre sa vie, sa ville, son pays.
Longtemps qu'elle n'était pas venue, trop longtemps, mais son retour aux sources m'a offert la sensation bénie et éphémère de me sentir à nouveau légère, toute légère.
Maintenant je l'attends, je recompte les heures, les jours et les semaines parce que la légèreté filiale, l'évidence familiale, on y prend vite goût, très vite ; il faut se rendre à l'évidence, l'addiction est immédiate.
Durant ces longues années de sevrage dues à son absence imposée j'avais écris ceci pour elle.

Quand on s'appelle Arizona Muse

On ne naît pas tous égaux dans la vie, non, c'est postulat de base incontournable. Mais quand on porte un nom et un prénom pareils dans une enveloppe corporelle aussi réussie ça frise la provocation non ?